« Depuis plusieurs années, l’ensemble des acteurs scolaires ont multiplié les initiatives et montré leur détermination à prévenir et à enrayer l’intimidation et la violence dans les écoles. Tous les élèves québécois doivent se sentir en sécurité à l’école et pouvoir apprendre dans un climat sécuritaire, positif et bienveillant. En plus de rappeler que toute forme de violence et d’intimidation est inacceptable, cette semaine thématique met l’accent sur la communication verbale positive, pour intervenir sur l’une des formes d’agression les plus rapportées : la violence verbale. C’est pourquoi il est important de maximiser les occasions d’apprentissage en cette matière », a déclaré le ministre Proulx.
Le ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur, en collaboration avec ses partenaires, dont l’Institut Pacifique, a élaboré différents outils visant à soutenir les intervenants scolaires dans leurs efforts pour prévenir et réduire l’intimidation et la violence à l’école. Durant cette semaine, les élèves, les enseignants, les professionnels et le personnel de soutien pourront consulter la section créée à leur intention sur le site du ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur. Plusieurs ressources y sont regroupées.
« La lutte contre l’intimidation interpelle chaque citoyenne, chaque citoyen et chaque organisation. Il faut agir collectivement pour pouvoir la prévenir, la reconnaître et réagir de manière appropriée lorsque des actes répréhensibles se produisent. Notre gouvernement est déterminé à prévenir et à contrer l’intimidation sous toutes ses formes et à tous les âges. C’est pourquoi il est essentiel d’en parler dès les premières années scolaires et ainsi aider chaque enfant à développer de saines relations interpersonnelles », a ajouté la ministre Charbonneau.
Rappelons que le 24 avril 2014, notre gouvernement a annoncé son intention de lutter contre l’intimidation à tous les âges et dans tous les milieux. Le plan d’action concerté pour prévenir et contrer l’intimidation 2015-2018 Ensemble contre l’intimidation, une responsabilité partagée concrétise cet engagement.